Dany Lony est née le 22 juillet 1954 à Paris 14ème arrondissement, d’un père Malien et d’une mère Normande. Elle a réalisé très tôt son métissage.
Tout d’abord adoptée un an après sa naissance, sa première identité disparaît, elle lui fut révélée plus tard par sa mère adoptive qui ne lui cacha rien à ce sujet dès qu’elle put être en âge de la questionner. Elle apprit avec horreur que sa mère biologique se trouvait dans la rue au moment de sa naissance dans la plus extrême des pauvretés et de ce fait, elle a toujours été consciente qu’elle était un bébé de la rue.
Passionnée d’écriture depuis son enfance, elle écrivait des histoires pour mon plaisir. Seuls ses proches, ses amis pouvaient les lire. Depuis quelques années, elle a pu, grâce à Internet publier son premier roman en auto-édition : « J’ai retrouvé ma mère », première publication publique.
Son premier et son second roman de Science-fiction
« La Terre parle », véritable hommage à la Planète lui a donné l’envie de continuer. Aujourd’hui elle saute le pas. Ce sera son troisième roman de « Science-fiction ».
« La Clef de l’Au-delà » Roman axé vers le fantastique.
Son nouveau roman : Paru pour la première fois sur Amazon avec Dany pour nom de plume.
« Sur la piste du dernier maskilili » est le premier roman de science-fiction guyanais.
Elle a vécu en Guyane pendant quatre ans, son mari étant lui-même Guyanais, elle s’intéresse toujours à ce qui se passe en Guyane tout en vivant dans l’hexagone car elle estime y avoir quelque part des racines, elle aime la nature et son séjour en Guyane lui a permis de se rapprocher d’une partie de ces paysages merveilleux dont elle garde toujours au fond de ses pensées d’excellents souvenir. Ce roman, c’est surtout une façon pour elle de parler de la Guyane et de la faire découvrir par le biais de cette histoire. Il a pour but aussi de dénoncer ce projet minier qu’elle combat depuis un an : « La Montagne d’Or » qui défigurerait l’Amazonie et de tous les projets d’exploitation des ressources de ce territoire.
Dany Lony, c’est le nom de plume qu’elle emploie avec l’arrivée de ce nouveau roman.
Elle a toujours aimé écrire depuis sa tendre enfance. Elle écrivait surtout des poèmes dont les thèmes tournaient souvent autour de la Nature et de son exaltation puis ce sont des citations, de courtes histoires basées sur l’observation des animaux qui sont venues étayer ses écrits.
La poésie avait toute sa place en ce temps-là et ses poèmes devenaient de plus en plus engagés. Ils traitaient des problèmes de la société, déjà. L’envie de relater des anecdotes et de les consigner lui est venue à la suite de la rédaction de son journal intime, à l’adolescence ou l’envie s’est transformée en un véritable penchant pour révéler des histoires que lui racontaient les connaissances qui l’entouraient. Lors de ses déplacements professionnels où elle était amenée à rédiger de courtes rédactions sur des thèmes précis et aussi le fait de rencontres il n’était pas rare qu’elle entende les gens lui suggérer de se diriger vers l’écriture d’un roman tant ils se plaisaient à l’écouter narrer le devoir qu’elle rendait.
On lui avait donné le surnom de « la romancière ou « la Barbara Cartland » du groupe mais elle ne prenait pas cela au sérieux. C’est au moment où elle fut obligée de rechercher sa génitrice pour des raisons liées à son besoin de connaître ses origines qu’elle a pris réellement conscience de cette envie de partager. Ses recherches aboutirent en l’année deux mille et le vécu de celle qui l’avait mis au monde déclencha chez elle le sentiment qu’il fallait mémoriser ce parcours de vie, ce qui lui paraissait comme essentiel de livrer. Sous forme de roman elle publia son premier livre « J’ai retrouvé ma mère ».
Elle pense que l’envie de s’exprimer, de réagir sur certains aspects de la société, de livrer ses impressions, de se dire qu’elle existe et qu’il faut avoir sa place sur cette Terre, ce sentiment que l’on n’est pas là par hasard et une sorte d’exutoire aussi, a toujours été très fort.
Elle écrit par passion mais la notion de gain n’a pas vraiment d’importance pour elle, elle espère simplement satisfaire les lecteurs en souhaitant toujours qu’ils soient de plus en plus nombreux à s’intéresser à ce qu’elle écrit.